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Autres coupures de presse de Sigurd Fredriksen

 

 

Fredriksen Le Buffet - 1939

«L’artiste s’est servi d’un meuble en bois ciré pour construire un tableau aussi complet qu’une scène mythologique.»

 

 

« Les Nouveaux Temps »  - fév. 1944

A Sigurd Fredriksen, peintre d’origine norvégienne à qui s’intéressait Vuillard, montre des paysages, des compositions et des portraits aussi intelligents que sensibles.
On suivra désormais ce peintre.

Galerie Lucie Krohg.

 

 

« Les Beaux-Arts » - 1944

Un intimiste d’une très bonne classe, tel se présente M. Sigurd Fredriksen dont l’œuvre reflète, avec beaucoup de discrétion et de finesse, la sensibilité de Vuillard. L’Aïeule, la Pianiste, les Deux Couseuses sont des œuvres simples et profondes.
Galerie Lucy Krohg.

 

 

« France Europe »  - 1944

Exposition Sigurd Fredriksen  -

De la sensibilité nuancée de poésie agreste, caractérise l’œuvre de Sigurd Fredriksen.

Vuillard nous apprend Fegdal, conseilla et aida ce jeune peintre d’origine norvégienne. Sans doute, trouvons-nous l’écho des leçons du maître dans certains accords de tonalités rares, écho toutefois plein de discrétion. Les Landes à Beg-Meil, écrasées par un ciel gris qu’anime le vent, avec la tache noire et blanche d’un groupe de bretonnes ont inspiré à Fredriksen. Galerie Lucy-Krohg.

 

 

M. T. Galerie Lucy-Krohg - 1944

S. Fredriksen, disciple de Vuillard, est un sincère, ses portraits sont exquis et ses paysages relèvent un sens profond de la nature. Concarneau avec ses voiliers, est une page d’histoire.

 

 

« Les Galeries »  - 1944

Sigurd Fredriksen, comme nous l’apprend dans la préface Charles Fegdal, pour son exposition à la Galerie Lucy-Krohg, est d’origine norvégienne. Est-ce à cet atavisme qu’il doit d’avoir bien réalisé sa peinture d’un jardin sous la neige en banlieue ? Mais Fredriksen a également bien rendu la lumière blonde autour de l’église dans un village de la Mayenne ;  l’ambiance carminée d’un intérieur autour d’une femme au piano ; la joie des convives devant le petit-déjeuner dans la salle à manger estivale. Ses portraits aussi restent d’un peintre qui harmonise des symphonies de tons autour des scènes et des figures de la vie.

 

 

« Science et Monde » - 1944

…..Il faudrait encore signaler le primesautier talent de ….

Celui plus sérieux de Sigurd Fredriksen, peintre d’origine norvégienne, que conseillait Vuillard et qui affirme des dons de délicat harmoniste. G.T.

 

 

« Les Beaux-Arts »  – 1944

Une exposition de peinture à l’Ecole des Beaux-Arts

L’Atelier de M. Louis Roger a hérité de la tradition des grands maîtres trop tôt disparus : Paul Albert et Pierre Laurens. Bons dessinateurs et délicats coloristes, les élèves concrétisent en de charmantes toiles l’excellent enseignement donné par leur chef d’atelier.

De Fredriksen, un petit paysage de neige et deux portraits, le premier représentant  Un Jeune Garçon et le second Une Fillette en bleu dans un intérieur  où dominent les bruns orangés.

 

« Revue Moderne » -  oct. 1966

Salon de Saint-Ouen (Salon Violet)

Fidèle à l’impressionnisme, Sigurd Fredriksen en renouvelle la tradition.

D’une conception originale, l’une de ses œuvres évoque, vêtue de rouge, une femme assise, dans une ambiance qui crée l’intimité.

Solidement dessinée, bien modelée par les jeux de la lumière, la nature morte qui l’accompagnait détache les volumes d’une saucière de faïence et de fruits sur un fond ocre rosé et vert.

L’artiste a cependant une préférence marquée pour le portrait mais s’intéresse également au paysage.

Sigurd Fredriksen,qui possède d’ailleurs d’excellentes bases acquises à l’Académie Julian et à l’Ecole des Beaux-Arts, participait également au Salon des Artistes Français où il présentait Intérieur et Plage de Graye, à celui de la Société Nationale et à divers Salons de Banlieue.

 

 

« Le Peintre »  - Le guide des Collectionneurs juin 1978

La Galerie des Hauts-de-Seine présente des peintures de Sigurd Fredriksen, un peintre de natures mortes, de paysages, mais aussi de compositions intimistes possédant un métier parfaitement basé sur le dessin et sur les lois impressionnistes. C’est dire que ses œuvres sont bien construites, que ses couleurs sont propres sans aucun ton abâtardi. C’est un art en pleine santé, tout d’amour et qui s’adresse donc autant à l’âme qu’aux yeux.

 

 

« L’Amateur d’Art » (Les expositions) - 1978

Fredriksen, Une Route à Courbevoie d’une très fine lumière tamisée et d’une tenue de style digne de Sisley lui-même. A signaler aussi des pastels d’une légèreté précise admirable. H. H.

Galerie de l’Ouest.

 

 

« L’Amateur d’Art » - 1979

Sigurd Fredriksen

Avec des toiles qui n’avaient jamais été exposées depuis les années 40, cette nouvelle et active galerie des Hauts de Seine nous met en face de l’œuvre importante et très caractéristique de Sigurd Fredriksen qui supporte magnifiquement l’épreuve du temps ; La douceur des coloris d’une pâte travaillée, la richesse des verts permettent au peintre d’exprimer des paysages, mais aussi des scènes de la vie de famille, des natures mortes, d’une classique somptuosité.

Avec au pastel, des nus sculpturaux, c’est toute une époque dans laquelle il est plaisant de se plonger.
Galerie des Hauts-de-Seine. B.G.

 

 

« L’Amateur d’Art »

Sigurd Fredriksen a étudié et débuté à l’Académie Julian avant d’entrer aux Beaux-Arts avec Pierre Laurens ; il étudia la fresque avec Untersteller et bénéficia de l’enseignement de Vuillard. Il peint des paysages mais a une préférence pour les portraits et les scènes d’intérieur. Sa peinture est extrêmement raffinée dans le maniement des valeurs et des couleurs, sa mise en page souvent hardie et inattendue. C’est un peintre intimiste qui sait donner une unité profonde et harmonieuse à ses toiles, se plaçant dans la lignée de Bonnard et Vuillard.

Sigurd Fredriksen vient d’exposer deux œuvres : Frédéric et Port de Courseulles.

 

 

Fév. 1979

Amoureux de la nature, ce peintre sensible traduit son émotion dans toutes ses toiles. Son dessin est net, sa palette colorée. Pas d’agressivité dans ses œuvres. Tout reflète la douceur de vivre, que ce soit dans ses paysages aux verts subtils, ou dans ses scènes de la vie familiale aux tons chauds. Tout est charmant, le bébé qui dort, la grand-mère qui veille, les enfants qui jouent. La position des personnages est juste. Les natures mortes sont bien composées. Dans ses pastels, le trait est précis et l’atmosphère bien rendue.

 

 

« Exposition Pontoise » - 1982

Sigurd Fredriksen, chevalet d’argent, nous a éblouis dans un art figuratif, impressionniste dans la couleur, intimiste dans la composition, œuvres où l’on perçoit une décision forte du dessin qui donne, entre autre, à La Nature Morte au Chapeau une présence intense.

 

 

« Le Salon des Amis des Arts »

Le 21ème salon des Amis des Arts s’est tenu à la salle des Fêtes du centre administratif du 11 au 27 février : 102 exposants, peintres et sculpteurs et céramistes y ont montré leurs œuvres appréciées par un public nombreux et fidèle.
Voici le palmarès de ce salon

Premier prix des Amis des Arts : Sigurd Fredriksen « Port de Courseulles » et « Intérieur ».

 

 

« L’Amateur d’Art »

Sigurd Fredriksen « Intérieur »

S’il préfère le portrait et la composition d’intérieur, Sigurd Fredriksen est, cependant, inspiré par les bords de Seine en évoquant le «Pont de Levallois » et «l’Ile de la Jatte ».
Par leurs recherches d’atmosphère et leur caractère suggestif, exécutés d’une  touche ferme, mais de toute de sensibilité, ses œuvres se rattachent à l’école impressionniste.
Cet artiste fréquenta l’Académie Julian puis l’Ecole des Beaux-Arts et reçut les conseils de Jean-Paul et Pierre Laurens et de Vuillard.
Sociétaire du Salon des Artistes Français et membre associé de la Société Nationale des Beaux-Arts, Sigurd Fredriksen participe aussi aux salons d’Asnières, de Bois-Colombes,  de Levallois et de Brie-Comte-Robert. R.C & T.

 

 

« Franconville » - 1985 – la médaille de la ville pour le Maître Sigurd Fredriksen »

C’est après la messe de 18 heures animée par la chorale des Enfants d’Argenteuil, qu’une réception a eu lieu en l’église Sainte-Madeleine de Franconville qui a offert deux magnifiques toiles à l’église : « Descente de la Croix » et « Crucifixion », toiles qui étaient visibles à l’exposition d’Art Sacré qui vient de se terminer en date du 20 avril.

Tous les exposants étaient présents, M. Francis Delattre, vice-président du Conseil Général, maire de la ville, accompagné du bourgmestre de Viernheim  (R .F.A.), M. Joseph Baugmartner, venu assister à l’inauguration internationale du Centre Culturel Saint-Exupéry, a remis à M. Fredriksen, très ému, la médaille de la ville, ainsi que le diplôme de la médaille d’honneur de l’Académie des Pays de France.

C’est par un verre de l’amitié que devait  clore cette très sympathique réception.

 

 

« L’Echo Régional » -  jeudi  12 décembre 1985

Depuis le 3 décembre et jusqu’au 20. La bibliothèque municipale du Centre Saint-Exupéry accueille les toiles retraçant l’œuvre de Sigurd Fredriksen.
A l’occasion du vernissage qui s’est déroulé samedi dernier, l’artiste, âgé de 78 ans, est venu en personne présenter ses huiles à M. Delattre, maire de la ville et à MM. Di Piazza et Bertin adjoints. M. Gervais,  peintre bien connu des Franconvillois et le père Callewaert, ainsi que de très nombreux amateurs de la ville et de la région étaient présents.

Sigurd Fredriksen, témoin de son temps, a, par sa peinture extrêmement raffinée, un maniement des couleurs subtil et une mise en  page inattendue, donné à son œuvre une unité profonde et harmonieuse. Les portraits d’ouvriers, cadres et employés qu’il a réalisés alors qu’il travaillait à la SNECMA prennent une valeur de document sociologique.

Exposition Fredriksen au Centre Saint-Exupéry – Franconville

 

 

La « Gazette du Val d’Oise » – juin 1986

Sigurd Fredriksen nous a quittés.

Dans notre dernier numéro la critique sur le 7ème Salon des Arts de Pontoise mentionnait l’œuvre intimiste exposée par le peintre Sigurd Fredriksen de Franconville, qui honorait aussi la couverture du catalogue du salon avec une très belle œuvre « La jeune fille à la colombe ».

Et puis, quelques jours plus tard, nous apprenions avec regret et tristesse le décès de cet artiste à la peinture extrêmement raffinée dans le maniement des valeurs et des couleurs. C’était un peintre intimiste qui savait donner une unité profonde et harmonieuse à ses toiles, ce qui le plaçait dans la lignée de Bonnard et Vuillard.
Sigurd Fredriksen est né en 1907.
Il avait travaillé avec Vuillard et sa longue chevauchée artistique fut des plus riches. On a encore en mémoire la très belle exposition rétrospective des œuvres du peintre réalisée en décembre 1985 à a Bibliothèque Municipale du Centre Saint-Exupéry de Franconville.

Avec la disparition de Sigurd Fredriksen, le Val d’Oise perd l’un de ses grands peintres. D.L.

 

 

« La Gazette » – 9 novembre 1988

Hommage à Sigurd Fredriksen

Cette exposition choisie avec goût vous émerveillera par les portraits exécutés au pastel. Puis, des huiles s’offriront à vos yeux. La douceur des paysages et scènes intimistes vous étonneront car le détail des scènes réalisées fut posé avec assurance par le pinceau de l’artiste.

C’est pour Auvers un grand honneur d’accueillir les œuvres de ce grand peintre que tous les visiteurs auront plaisir à découvrir, tous les jours de 10h à 12 h et de 14 h à 18 h (rue de la Sansonne, Auvers).

 

 

2ème Salon de « Printemps »  du 17 mars au 1er avril 1990

En 1990 hommage à Sigurd Fredriksen. Il sera le peintre à l’honneur cette année.

 

 

« Ouest France » – sept. 1993

Peintre coté, Sigurd Fredriksen (1907-1986) obtint de nombreux prix et médailles, dont notamment le prix de l’Académie des Beaux-Arts en 1939 ; le Grand prix de la nature morte à Deauville en 1966, la médaille d’or au Salon Violet à Paris en 1975, le prix Meurant des artistes français.

 

 

FRANCONVILLE – Centre Culturel  Saint-Exupéry - 1998

Rétrospective Fredriksen/Callewaert

Sigurd Fredriksen (1907-1986), peintre intimiste d’un naturalisme populaire fut l’ami de Pierre Callewaert, qui partagea avec lui l’amour de la peinture.
Cette rétrospective, souhaitée par Pierre Callewaert, doit être comprise comme un hommage à ce grand peintre et homme de cœur disparu en 1986 et qui a laissé des œuvres inoubliables.

L’ Artiste :

Elève aux Beaux-Arts d’Albert Laurens et d’Edouard Vuillard qui lui accordèrent leur amitié, ami de Chessial, Fontanarosa et de Brayer, Sigurd Fredriksen se caractérise par des toiles qui rapportent la vie des gens simples et des portraits jamais figés.
En 1984, il rencontre Pierre Callewaert, à Franconville. C’est sur incitation du maître Fredriksen que Pierre Callewaert s’adonne depuis lors à la peinture.
Dans une matière très en relief et dans une inspiration proche de l’abstraction, Pierre Callewaert peint son émerveillement devant la nature. Un bonheur contagieux à découvrir.
Centre culturel Saint-Exupéry.

 

 

Sigurd Fredriksen, peintre de Beg-Meil  - 2012

Pendant de longues années, Sigurd Fredriksen, accompagna ses sœurs à Beg-Meil où il rencontra d’ailleurs Marie-Louise Poilpré qui allait devenir son épouse. Après avoir fait les Beaux-Arts à Paris, le talent de peintre de Sigurd allait se confirmer grâce aux conseils du grand Edouard Vuillard. Il allait par la suite obtenir de multiples distinctions et récompenses dans de nombreux salons. A Beg-Meil, le peintre réalisait des croquis qu’il emportait avec lui à Paris pour en faire des tableaux. Lorsqu’en 1933 l’Hôtel Thalamot décide de construire une nouvelle salle de restaurant, Sigurd décore le local. A Paris, il réalise neuf grands tableaux qui seront expédiés en 1934 à Beg-Meil sous forme de rouleaux. Ils sont toujours en place et racontent les épisodes révolus de la vie d’antan : scène de tempête au sémaphore, le menhir de la pointe, le ramassage du goémon sur la plage, les lavandières à Kerlosquen, les marins à Concarneau. Malgré une attaque cérébrale en 1979, Sigurd Fredriksen ne quittera guère sa palette avant d’entrer à l’hôpital où il meurt en 1986.

 

 

« Ouest France » – juil 2012

Les neuf œuvres de Sigurd Fredriksen constituent l’un des rares ensembles encore intacts et complets d’une telle importance artistique et historique en Bretagne. Sous la Direction d’Edouard Vuillard, Sigurd Fredriksen réalise en 1934 son œuvre la plus accomplie. Les neuf toiles, réalisées en 1934 sur commande du propriétaire de l’hôtel Thalamot à Beg-Meil, interpellent le regard par leur modernité et leur liberté d’expression. Fredriksen trouve son inspiration dans les paysages bretons qui lui ont été familiers, et qu’il a intériorisés à travers les scènes de port à Concarneau, à la Pointe du Sémaphore ou encore à la ferme du Kerlosquen. Les scènes représentées plongent les hôtes au cœur du pays visité. Si l’Hôtel Thalamot a aujourd’hui fermé ses portes, son décor a été soigneusement préservé jusqu’à nos jours.

 

 

Sigurd Fredriksen : La Réparation du Canot à Concarneau, huile sur toile 1934

Sous la direction d’Edouard Vuillard,  Sigurd Fredriksen réalise neuf œuvres pour le décor de l’Hôtel Thalamot en 1934. Il donne une vision moderne de la Bretagne, avec des raccourcis étonnants et des cadrages imprévus. Dans La Réparation du Canot à Concarneau, l’activité du port est saisie avec acuité dans une composition très dense.

  

Raymond-Sigurd FREDRIKSEN

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